Israël vs Palestine : pour l’amour du ciel, stop killing
Je ne suis ni arabe, ni asiatique, encore moins un juif ni palestinien, mais un être humain. Je ne suis ni un spécialiste politologue, ni un historien, je ne sais pas quoi d’autre, mais juste une voix parmi ces milliards d’autres au travers des quatre coins du monde qui crient halte à cette boucherie.
Au conflit israélo-palestinien, je n’y vois que des étincelles. J’ignore les tenants et les aboutissants de ces chicaneries éternelles. Mais ces images des enfants sacrifiés sur l’autel de la « conquête de la terre sainte » que nous relaient les chaînes internationales me scient comme le serait toute autre âme sensible.
Certes vous me direz que la politique se fiche carrément de l’émotionnel. Voilà où tout m’échappe me demandant ce qu’est la politique au final ? Si ce massacre, parfois des innocents sans défense, peut être réduit dans un seul mot : émoi, c’est quoi et à quoi sert la politique ?
Ces vies innocentes détruites
Comme ironisait Benyamin Netanyahu, premier ministre de l’Etat hébreux : « Dans ce genre de conflit, il y a toujours des victimes. Dommage ! » Je ne défends personne. Ici je ne dis rien de ces combattants du Hamas qui sont accusés de faire des civils des boucliers humains. Je parle seulement de ces vies innocentes détruites, qui ignorent, peut-être comme moi, la raison d’être d’un si meurtrier conflit, totalement absurde pour certains.
Et comme c’est toujours de la politique avec ses raisons que la raison elle-même n’a pas, nous verrons les pays censés jouer l’apaisement souffler le chaud et le froid ne sachant pas quelle position prendre comme si c’était ambigu. Et pourtant, c’est plus simple à dire qu’à faire me direz-vous : empêchez d’abord de tuer ces innocents qui ne peuvent pas se défendre. Le reste, c’est de la politique. Et vous avez le droit d’en faire ce que vous voulez.
PS : A propos de la « photo d’illustration », je ne suis ni dessinateur, ni caricaturiste, d’où une image si fignolée.
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